La première édition du Sommet de l'Engagement, qui s'est déroulée le 8 février 2024, a été le lieu de convergence d’acteurs innovants et engagés.
A l’occasion d’une table ronde dédiée à l’impact social du numérique, Laurent Giovachini, directeur général de la Fondation Sopra Steria-Institut de France, a rappelé la nécessité
de placer l'humain au cœur des innovations numériques. A ses côtés, L'Agence Nouvelle des Solidarités Actives (ANSA) et l’association Adiléos, partenaires de la Fondation, ont expliqué l’importance
de l’accompagnement humain et le rôle clé des acteurs sociaux pour les personnes le plus éloignées du numérique.
Selon le Baromètre du numérique 2022, 48 % des Français rencontrent des difficultés croissantes avec les outils numériques, soit une augmentation de 13 points depuis 2020, et 15 % de la population française souffre
d'illectronisme. Des chiffres qui montrent l’importance cruciale de prendre des mesures pour réduire la fracture numérique.
"Pour être utile et efficace, le numérique doit être pensé avec un accompagnement humain et impliquer les utilisateurs, que ce soient les acteurs sociaux ou les bénéficiaires. Il ne doit pas surtout pas cannibaliser
la relation aidant-aidé", explique de son côté Jean-Michel Cot, directeur général d’Adiléos, qui se définit comme un facilitateur social.
"Les aidants, qu’il s’agisse des médiateurs numériques ou des particuliers, ont un rôle-clé à jouer dans l’acculturation au numérique. Il est essentiel que le gouvernement inclue les associations
et les acteurs sociaux dans les démarches de numérisation des services pour s’assurer que le parcours mis en place répondent aux besoins", ajoute Emmanuel Laurent, directeur général de l’ANSA.
"Les entreprises de la tech comme Sopra Steria ont une responsabilité dans la démarche d’acculturation au numérique, afin de créer des services numériques simples d’utilisation, qui puissent bénéficier
à tous. La Fondation Sopra Steria-Institut de France, dédiée à l’inclusion numérique, s'appuie sur l’expertise de collaborateurs pour accompagner des structures comme la Fédération Nationale
Solidarité Femmes, Clic&Moi ou encore Adiléos.", conclut Laurent Giovachini, directeur général de la Fondation Sopra Steria-Institut de France.
La Fondation Sopra Steria-Institut de France s'engage ainsi à jouer un rôle-clé dans la recherche de solutions concrètes pour surmonter les défis numériques actuels et à venir. En plaçant l'humain
au cœur de son action, elle démontre son engagement envers une technologie qui puisse bénéficier à tous et toutes, contribuant ainsi à une société numérique plus inclusive et équitable.
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